Qui sommes nous ?

Notre congrégation est apostolique et internationale. Elle est plus connue sous le nom de « Religieuses trinitaires de Valence ». Elle œuvre dans le monde, la société et la cité, marqués par les ombres et les lumières, les difficultés et les réussites de nos contemporains. Elle appartient à la grande famille trinitaire, composée de religieux, religieuses et laïcs, répartis dans 30 pays.

Notre vie

Notre vie quotidienne est fraternelle. Elle est bercée par la prière, la relation à l’autre et l’émerveillement. Dans chaque communauté, les temps de prière sont organisés en fonction de la mission des sœurs pour les accompagner dans la réalisation de leur vocation trinitaire. De différents âges et cultures, nous nous enrichissons mutuellement dans le concret de nos journées.

La famille trinitaire

Rassemblée autour de sa croix rouge et bleu, devenue emblème, la famille trinitaire partage la spiritualité trinitaire de Jean de Matha, fondateur de l’ordre. Une spiritualité à l’écoute du Dieu trinitaire, tournée vers le monde, la création et la libération de l’homme. Ouverte aux appels de Dieu et aux besoins actuels, la famille trinitaire se prépare humblement à demain.

La Trinité

La Trinité, qui constitue l’essence de notre existence trinitaire, n’est pas un mystère, mais un secret qui se révèle à celles et ceux qui prennent le temps d’écouter. Dieu, le Père qui nous parle ; Jésus, son Fils qui témoigne de sa parole ; et l’Esprit qui nous accompagne dans notre quotidien.

Notre histoire

Le 23 juin, naissance de Jean de Matha à Faucon-de-Barcelonnette en Provence. Dès son plus jeune âge, il est touché par la souffrance des hommes pris en captivité par les Barbaresques.

Devenu prêtre à Paris, après une inspiration reçue lors de sa première messe et un temps de réflexion, il fonde l’ordre des Trinitaires pour la louange de la Sainte Trinité et la rédemption des captifs. Progressivement, l’ordre s’élargit avec l’apport des religieuses contemplatives et des laïcs, femmes et hommes engagés dans cette spiritualité.

Quatre jeunes filles appartenant à une confrérie trinitaire lyonnaise désirent vivre ensemble pour prier et aider les jeunes filles pauvres de leur paroisse. Monseigneur de Morange, vicaire général du diocèse de Lyon, les appuie dans cette démarche. C’est l’origine des Filles de Saint-Nizier.

Monseigneur de Cosnac, évêque de Valence, installe trois sœurs à l’Hôtel-Dieu. Sœur Jeanne Adrian est supérieure de cette communauté. Elles assurent une mission au service des malades et des pauvres, tout en suivant la règle des trinitaires contemplatives.

Très vite, plusieurs communautés se forment. L’une d’entre elles, celle de Valence, survivra à la Révolution et se perpétuera dans les Religieuses trinitaires de Valence.

Toutes les congrégations sont dissoutes mais les Hospitalières peuvent rester à leur poste à titre individuel. Celles de l’Hôtel-Dieu resteront en place avec leur costume religieux, pour assurer un soutien aux malades et aux chrétiens qui se glissent furtivement le soir à l’Hôtel-Dieu.

Le 16 juillet, un décret impérial érige les trois communautés de Valence, Montélimar et Crest en Congrégation des religieuses trinitaires de Valence.

Le 13 septembre, mère Agnès Dubost est élue première supérieure générale de la congrégation.

La congrégation est en plein essor, les communautés se multiplient et font un très bon travail apostolique. La réforme de la société qui aboutit avec la loi de 1901 met fin à de nombreux établissements, surtout dans l’éducation. En quelques années, 75 maisons sont fermées.

La situation sociale reste difficile. Des maisons sont à nouveau fermées et on assiste à une diminution des vocations. Il faut chercher de nouvelles formes de service, en réponse aux nouveaux signes des temps ; mais notre charisme, notre style de vie continue à rayonner.

De nouvelles communautés voient également le jour à l’international.

Qui sommes-nous ?

Notre congrégation est apostolique et internationale. Elle est plus connue sous le nom de « Religieuses trinitaires de Valence ». Elle œuvre dans le monde, la société et la cité, marqués par les ombres et les lumières, les difficultés et les réussites de nos contemporains. Elle appartient à la grande famille trinitaire, composée de religieux, religieuses et laïcs, répartis dans 30 pays.

Notre vie

Notre vie quotidienne est fraternelle. Elle est bercée par la prière, la relation à l’autre et l’émerveillement. Dans chaque communauté, les temps de prière sont organisés en fonction de la mission des sœurs pour les accompagner dans la réalisation de leur vocation trinitaire. De différents âges et cultures, nous nous enrichissons mutuellement dans le concret de nos journées.

La famille trinitaire

Rassemblée autour de sa croix rouge et bleu, devenue emblème, la famille trinitaire partage la spiritualité trinitaire de Jean de Matha, fondateur de l’ordre. Une spiritualité à l’écoute du Dieu trinitaire, tournée vers le monde, la création et la libération de l’homme. Ouverte aux appels de Dieu et aux besoins actuels, la famille trinitaire se prépare humblement à demain.

La Trinité

La Trinité, qui constitue l’essence de notre existence trinitaire, n’est pas un mystère, mais un secret qui se révèle à celles et ceux qui prennent le temps d’écouter. Dieu, le Père qui nous parle ; Jésus, son Fils qui témoigne de sa parole ; et l’Esprit qui nous accompagne dans notre quotidien.

Notre histoire

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Le 23 juin, naissance de Jean de Matha à Faucon-de-Barcelonnette en Provence. Dès son plus jeune âge, il est touché par la souffrance des hommes pris en captivité par les Barbaresques.

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Devenu prêtre à Paris, après une inspiration reçue lors de sa première messe et un temps de réflexion, il fonde l’ordre des Trinitaires pour la louange de la Sainte Trinité et la rédemption des captifs. Progressivement, l’ordre s’élargit avec l’apport des religieuses contemplatives et des laïcs, femmes et hommes engagés dans cette spiritualité.

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Quatre jeunes filles appartenant à une confrérie trinitaire lyonnaise désirent vivre ensemble pour prier et aider les jeunes filles pauvres de leur paroisse. Monseigneur de Morange, vicaire général du diocèse de Lyon, les appuie dans cette démarche. C’est l’origine des Filles de Saint-Nizier.

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Monseigneur de Cosnac, évêque de Valence, installe trois sœurs à l’Hôtel-Dieu. Sœur Jeanne Adrian est supérieure de cette communauté. Elles assurent une mission au service des malades et des pauvres, tout en suivant la règle des trinitaires contemplatives.

Très vite, plusieurs communautés se forment. L’une d’entre elles, celle de Valence, survivra à la Révolution et se perpétuera dans les Religieuses trinitaires de Valence.

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Toutes les congrégations sont dissoutes mais les Hospitalières peuvent rester à leur poste à titre individuel. Celles de l’Hôtel-Dieu resteront en place avec leur costume religieux, pour assurer un soutien aux malades et aux chrétiens qui se glissent furtivement le soir à l’Hôtel-Dieu.

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Le 16 juillet, un décret impérial érige les trois communautés de Valence, Montélimar et Crest en Congrégation des religieuses trinitaires de Valence.

Le 13 septembre, mère Agnès Dubost est élue première supérieure générale de la congrégation.

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La congrégation est en plein essor, les communautés se multiplient et font un très bon travail apostolique. La réforme de la société qui aboutit avec la loi de 1901 met fin à de nombreux établissements, surtout dans l’éducation. En quelques années, 75 maisons sont fermées.

L'après-guerre

La situation sociale reste difficile. Des maisons sont à nouveau fermées et on assiste à une diminution des vocations. Il faut chercher de nouvelles formes de service, en réponse aux nouveaux signes des temps ; mais notre charisme, notre style de vie continue à rayonner.

De nouvelles communautés voient également le jour à l’international.

 

Qui sommes-nous ?

Notre congrégation est apostolique et internationale. Elle est plus connue sous le nom de « Religieuses trinitaires de Valence ». Elle œuvre dans le monde, la société et la cité, marqués par les ombres et les lumières, les difficultés et les réussites de nos contemporains. Elle appartient à la grande famille trinitaire, composée de religieux, religieuses et laïcs, répartis dans 30 pays.

Notre vie

Notre vie quotidienne est fraternelle. Elle est bercée par la prière, la relation à l’autre et l’émerveillement. Dans chaque communauté, les temps de prière sont organisés en fonction de la mission des sœurs pour les accompagner dans la réalisation de leur vocation trinitaire. De différents âges et cultures, nous nous enrichissons mutuellement dans le concret de nos journées.

La famille trinitaire

Rassemblée autour de sa croix rouge et bleu, devenue emblème, la famille trinitaire partage la spiritualité trinitaire de Jean de Matha, fondateur de l’ordre. Une spiritualité à l’écoute du Dieu trinitaire, tournée vers le monde, la création et la libération de l’homme. Ouverte aux appels de Dieu et aux besoins actuels, la famille trinitaire se prépare humblement à demain.

La Trinité

La Trinité, qui constitue l’essence de notre existence trinitaire, n’est pas un mystère, mais un secret qui se révèle à celles et ceux qui prennent le temps d’écouter. Dieu, le Père qui nous parle ; Jésus, son Fils qui témoigne de sa parole ; et l’Esprit qui nous accompagne dans notre quotidien.

Notre histoire

Le 23 juin, naissance de Jean de Matha à Faucon-de-Barcelonnette en Provence. Dès son plus jeune âge, il est touché par la souffrance des hommes pris en captivité par les Barbaresques.

Devenu prêtre à Paris, après une inspiration reçue lors de sa première messe et un temps de réflexion, il fonde l’ordre des Trinitaires pour la louange de la Sainte Trinité et la rédemption des captifs. Progressivement, l’ordre s’élargit avec l’apport des religieuses contemplatives et des laïcs, femmes et hommes engagés dans cette spiritualité.

Quatre jeunes filles appartenant à une confrérie trinitaire lyonnaise désirent vivre ensemble pour prier et aider les jeunes filles pauvres de leur paroisse. Monseigneur de Morange, vicaire général du diocèse de Lyon, les appuie dans cette démarche. C’est l’origine des Filles de Saint-Nizier.

Monseigneur de Cosnac, évêque de Valence, installe trois sœurs à l’Hôtel-Dieu. Sœur Jeanne Adrian est supérieure de cette communauté. Elles assurent une mission au service des malades et des pauvres, tout en suivant la règle des trinitaires contemplatives.

Très vite, plusieurs communautés se forment. L’une d’entre elles, celle de Valence, survivra à la Révolution et se perpétuera dans les Religieuses trinitaires de Valence.

Toutes les congrégations sont dissoutes mais les Hospitalières peuvent rester à leur poste à titre individuel. Celles de l’Hôtel-Dieu resteront en place avec leur costume religieux, pour assurer un soutien aux malades et aux chrétiens qui se glissent furtivement le soir à l’Hôtel-Dieu.

Le 16 juillet, un décret impérial érige les trois communautés de Valence, Montélimar et Crest en Congrégation des religieuses trinitaires de Valence.

Le 13 septembre, mère Agnès Dubost est élue première supérieure générale de la congrégation.

La congrégation est en plein essor, les communautés se multiplient et font un très bon travail apostolique. La réforme de la société qui aboutit avec la loi de 1901 met fin à de nombreux établissements, surtout dans l’éducation. En quelques années, 75 maisons sont fermées.

La situation sociale reste difficile. Des maisons sont à nouveau fermées et on assiste à une diminution des vocations. Il faut chercher de nouvelles formes de service, en réponse aux nouveaux signes des temps ; mais notre charisme, notre style de vie continue à rayonner.

De nouvelles communautés voient également le jour à l’international.